R : Oui, en fonction de la forme et de la sévérité de la maladie
R : Cela concerne uniquement le diagnostic. Cet examen aide surtout lors de l'examen initial.
R : Certains médicaments sont onéreux. L'INAMI impose alors une preuve de la gravité de la maladie. C'est plutôt une raison économique. J'insiste à ce sujet pour refuser toute radio à la baryte. La radio ne permet pas d'observer l'oesophage et cet examen est très nocif pour un patient atteint de sclérodermie.
R : Je n'endors qu'un patient sur 50. J'utilise plutôt l'anesthésie « verbale ». Il vaut mieux être avare en piqûre afin d'éviter tout risque cardiaque. Il devrait y avoir environ 100 nouveaux cas de sclérodermie par an. Le patient ne devrait pas être dilué dans la masse. Un examen en centre universitaire est à conseiller. Cette maladie doit être centralisée, cela aidera la recherche. Il n'existe pas de traitement spécifique d'où la nécessité de se déplacer en université.
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